Condamné à démonter une antenne-relais
Principe de précaution
Préjudice esthétique
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Lors de la conférence sur les risques des ondes électromagnétiques organisée à la Faculté de Droit de Montpellier par l’OMESC et Robins des toits, Francis Glemet, docteur en pharmacie et Président de la coordination Nationale Médicale Santé et environnement a fait le point concernant la santé.
Le 23 mars 2011, lors de la conférence sur les risques des ondes électromagnétiques organisée à la Faculté de Droit de Montpellier par l’OMESC et Robins des toits, Francis Glemet, docteur en pharmacie et Président de la coordination Nationale Médicale Santé et environnement a fait le point concernant la santé.
Les résultats de l’étude « Interphone » , travail de recherche scientifique conduit par treize équipes de chercheurs issus de différents pays, sur les effets sur la santé du téléphone mobile, ont été rendus publics le mardi 18 Mai 2010 après plusieurs années d’attente.
Confirmant des travaux antérieurs, notamment ceux de l’Université d’Orebro en Suède, de plusieurs universités américaines ou du Rapport BioInitiative, cette étude montre des risques de cancer du cerveau accrus (+40 % pour le gliome et +15% pour le méningiome) chez les utilisateurs d’un téléphone mobile pendant une durée de 10 ans à raison d’une demi-heure d’utilisation par jour. Le cancer se développe préférentiellement du côté de la tête correspondant à l’usage dominant du téléphone.
Lors de la conférence sur les risques des ondes électromagnétiques organisée à la Faculté de Droit de Montpellier par l’OMESC et Robins des toits, Francis Glemet, docteur en pharmacie et Président de la coordination Nationale Médicale Santé et environnement a fait le point concernant la santé.
Le Pr. Lennart Hardell, de l’Université d’Orebro, et M.Michael Kundi, directeur de l’Institut de Santé Environnementale de Vienne, soulignent que, pour la plupart des cancérigènes, la période de latence s’approche plutôt de 15-30 ans. Le risque pourrait donc être encore plus grand. De même, le Pr Hardell attire l’attention sur le fait que l’étude n’inclut pas les enfants, chez qui cerveau et système nerveux sont plus fragiles, ni les téléphones sans fil, facteurs supplémentaires de risque.
Ces résultats, auxquels on ne peut reprocher d’exagérer les risques, doivent mettre fin aux atermoiements entretenus par les opérateurs de téléphonie mobile, des pouvoirs publics au cours de ces dernières années. Les risques pour la Santé de la téléphonie mobile ne sont pas «possibles», «allégués» ou «supposés». Ils sont réels, et nul ne peut aujourd’hui prétendre les ignorer d’autant que la durée moyenne d’aujourd’hui est d’une heure largement supérieure à la durée la plus forte de l’étude.
Il est désormais du devoir des pouvoirs publics de tirer les conséquences logiques de ce Rapport. Ils devront ainsi ajourner, jusqu’à ce que son innocuité soit démontrée, le déploiement de toute nouvelle technologie sans fil. Ils devront surtout organiser immédiatement des campagnes de prévention et d’information dépourvues de toute ambiguïté, visant en premier lieu à la protection des enfants (pour lesquels l’usage du mobile doit être purement et simplement prohibé), et des femmes enceintes, et plus largement à la modération de l’usage pour tous les utilisateurs.
Le risque est réel après ce rapport et même s’il est évalué minime, à l’échelle de notre pays, cela représente, en regard des millions d’utilisateurs, de nombreux milliers de cas de nouveaux cancers cérébraux et en particulier chez l’enfant dont la progression des cancers est de 1 % chaque année en Europe (donnée CIRC).
28/03/2011 16:08 (Par Jean-Pierre GALTIER)
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Les mesures d’exposition aux ondes radioélectriques en France, révèlent de bons niveaux. A la clef, un éventuel abaissement cette exposition.
Les résultats de la première phase d’expérimentation sur les radiofréquences révèle que l’exposition aux ondes est inférieure aux seuils recommandés. Alors que la valeur maximale fixée par les institutions internationales se situe entre 41 et 61 volts, , les lieux les plus exposés reçoivent au plus 12 volts par mètre, en France.
Les radiofréquences sont émises par des systèmes de télécommunication et des équipements répandus tels que téléphone mobile, internet, télévision, radio, four à micro-ondes, talkie-walkie…
« Dès lors que l’exposition globale du public aux antennes de relais de téléphonie mobile peut être réduite, sans dégradation de la couverture ou de la qualité de service, et à des coûts économiquement acceptables, cette réduction doit être envisagée« , a indiqué Nathalie Kosciusko-Morizet.
Cette première phase d’expérimentation a été conduite dans six communes : Courbevoie (Hauts-de-Seine), Grand-Champ (Morbihan), Grenoble (Isère), Kruth (Haut-Rhin), Paris 14earrondissement et Thiers (Puy-de-Dôme). La seconde phase qui commence maintenant dans seize collectivités territoriales, consiste à simuler une baisse de la puissance d’exposition aux radiofréquences.
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16 communes sont sélectionnées pour une expérimentation d’antennes relais pour une baisse des expositions aux ondes.
238 communes se sont portées volontaires suite à l’appel à candidature lancé en septembre 2009, pour expérimenter une diminution de l’expositions aux ondes des antennes relais (On recherche des communes volontaires pour baisser l’exposition aux ondes).
Les communes retenues pour l’ expérimentation de la réduction des expositions sont :
Les communes retenues pour l’expérimentation de nouvelles modalités de concertation sont :
Cette liste devrait être complétée ultérieurement pour assurer une représentativité suffisante.
Les premiers résultats sur les expérimentations seront disponibles au 2e trimestre 2010.
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Passer des vacances sans ondes électromagnétiques. C’est ce que propose de nouveau camping près de Valence dans la Drôme.
http://videos.tf1.fr/jt-we/le-1er-camping-garanti-sans-onde-electromagnetique-4522655.html
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L’association Robin des Toits s’inquiète.
Ne tenant pas compte des doutes d’une partie des Français, Réseau Ferré de France va bientôt équiper ses lignes de TGV avec ses propres antennes GSM.
Inquiète notamment pour la santé des riverains et des usagers, l’association Robin des Toits s’oppose à ce projet.
Réseau Ferré de France (RFF) est en train de déployer le long des lignes à grande vitesse des antennes de réseau de téléphonie mobile. Une phase de test de ce projet a commencé à voir le jour sur la ligne Paris/Strasbourg. Ce projet dénommé GSM-Rail devrait faire en sorte que 11 500 kilomètres de voies ferrées soient équipés en 2015. Ce réseau est déjà utilisé dans 17 autres pays en Europe, ce qui conforte la décision de RFF. C’est la société Synerail (Vinci à 30%, SFR à 30%, Axa Private Equity à 30% et TDF à 10%) qui a remporté le projet. Si Synerail prône l’innocuité du système utilisé, l’association Robin des Toits n’en est pas pour autant convaincue.
Des risques pour les usagers et les personnes à proximité
L’association Robin des Toits s’inquiète des dangers de cet équipement. Dans une lettre ouverte au président de Synerail, l’association lance « l’alerte sur le danger auquel ce projet expose le public ». Datée du 15 avril, cette lettre rassemble des questionnements et des doutes.
Selon l’association, ce nouvel équipement exposera la population « au même risque que si vous soumettiez leur corps entier au rayonnement maximal d’un Iphone en communication pendant 3h de trajet à une vitesse de 300 km/h, avec des points considérables en s’approchant des antennes ». Cela correspond à une valeur d’environ 1V/m jusqu’à 3V/M en moyenne. L’association souligne le risque de mécontentement des usagers sensibles aux effets des ondes.
Des conséquences sur les machines et l’environnement
Comme on parle maintenant d’effet cocktail lié aux produits chimiques tels que les bisphenols et les parabens, l’association s’inquiète des effets provenant des sources multiples de rayonnement. L’association souligne que le public est déjà particulièrement exposé au quotidien, notamment dans le métro en mouvement. Elle regrette l’« exposition à un cocktail d’interférences aux conséquences imprévisibles tant sur la santé que sur les technologies. »
L’association souligne que, en plus des effets sur la santé, ce réseau aura des conséquences sur l’environnement et sur le matériel électromagnétique situé à proximité. Il va « immanquablement perturber durablement l’environnement de la compatibilité électromagnétique (CEM) », explique l’association. Si elle souligne les perturbations possibles dans les maisons et les hôpitaux, elle note aussi des problèmes sur l’équipement même des TGV (« GPS, radios, onduleurs, appareils de sécurité, thyristors et autres équipements électrotechniques à bord du train notamment »).
Et toujours le problème de l’indépendance des institutions de contrôle…
Synerail indique que le projet respecte les limites d’expositions légales aux ondes. Pour l’association, les « données officielles n’ont plus rien de crédible ». « Elles reposent sur une seule source, des scientifiques qui sont en fait les porte-parole des industriels ». Une remarque qui revient de plus en plus souvent dans la bouche d’associations ou de scientifiques dénonçant des conflits d’intérêts entre les industriels et les institutions de contrôles. Le scandale du Médiator est un exemple parmi d’autres, qui devrait réveiller les consciences.
« Demandez-vous si vous servez les intérêts du public ou ceux des vendeurs de matériel téléphonique, dont les intérêts sont financiers », finit par écrire l’association au patron de Synail.
E.CINESTIA
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Le mercredi 18 mai à 20h35, France 3 diffusera un documentaire inédit intitulé Mauvaises ondes dans le cadre de son émission Hors Série . Après le film, Samuel Étienne ouvrira le débat avec auteurs, réalisateurs, témoins et experts dans Post Scriptum.
Dans le cadre de ses soirées Hors série sur les ondes, France 3 proposera le mercredi 18 mai à 20h35 un documentaire inédit sur les Mauvaises ondes. Le film de 90 minutes, réalisé par Sophie Le Gall cherche à savoir si les ondes, inodores et invisibles, représentent un danger pour la santé ?
Micro ondes, wifi, téléphone mobiles, … les ondes électromagnétiques sont partout. La France compte aujourd’hui 78 000 antennes relais; souvent trop puissante. Si les scientifiques commencent à s’accorder sur le nocivité, l’Etat de son côté persiste à dire que les ondes ne représentent pas de danger pour la santé des Français.
Sophie Le Gall a déjà réalisé un documentaire pour France 3 dans le cadre des Hors Série : Du poison dans l’eau du robinet.
En deuxième partie de soirée, Samuel Étienne recevra dans son Post Scriptum des auteurs, des réalisateurs, des témoins et des experts pour débattre sur le sujet.
L’objectif : permettre au téléspectateur de se forger sa propre opinion sur le sujet.
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C’est le nouvel eldorado que se sont trouvé les fournissseurs d’accès à Internet : les téléphones hybrides – Unik chez Orange, Twin chez Neuf Cegetel – qui marient technologie GSM et Wi-Fi, permettant ainsi d’utiliser l’un ou l’autre pour passer un appel, selon l’endroit où l’on se trouve. Ce mercredi 27 juin, une association de chercheurs sonne l’alarme sur ces appareils d’un nouveau genre, qui représenteraient un danger pour la santé publique.
Le Centre de recherche et d’information indépendantes sur les rayonnements électromagnétiques (Criirem) dénonce, dans un communiqué, une “ accélération de la pollution électromagnétique ” avec cette téléphonie Wi-Fi. Là où, selon eux, la téléphonie GSM émet un rayonnement à 900 ou 1 800 Mhz, et la 3G à 2 100 MHz, un terminal hybride émet en mode Wi-Fi “ des ondes pulsées à 2 450 Mhz ”. Soit, d’après le Criirem, “ la fréquence optimum pour agiter les molécules d’eau – c’est-à-dire exactement celle utilisée par un four à micro-ondes ”.
Ces données ne sont absolument pas prises en compte dans les recommandations d’utilisation, relève le centre de recherche. “ On est en train d’élever le seuil d’exposition des populations mais il n’y a pas suffisamment de précautions prises ”, explique Catherine Gouhier, directeur technique du Criirem.
“ L’arrivée des téléphones WiFi/GSM hybrides, portés contre la peau du visage ou tenus à la main, est d’autant plus inacceptable qu’elle contredit les recommandations sanitaires formulées par tous les experts ”, note les chercheurs du centre, qui s’interrogent sur “ l’impact des téléphones WiFi sur l’eau présente dans la peau ou le liquide céphalo-rachidien qui baigne le cerveau ”. Et d’insister sur “ l’obligation légale d’informer les consommateurs sur les risques encourus ”.
Si les rayonnements électromagnétiques de la téléphonie mobile sont un sujet récurrent de controverse entre opérateurs, utilisateurs et scientifiques, le Wi-Fi en particulier n’avait pas encore, lui, animé le débat public en France. Mais au Royaume-Uni, si. En avril dernier, Londres a ainsi été le théâtre d’un véritable vent de panique sur la dangerosité supposée de cette technologie sans fil.
Un syndicat d’enseignant, la Professional Association of Teachers, a en effet écrit au ministre de l’Education pour demander une enquête sur les effets sanitaires du Wi-Fi, sur les élèves comme sur les professeurs. L’internet sans fil est installé dans 80 % des établissements du secondaire et dans la moitié des écoles primaires.
Dans la foulée, des parents d’élèves se sont mobilisés pour que les écoles et les foyers se débarrassent de leurs équipements. Et, à la fin de mai, une émission de la BBC lançait l’information – et la polémique – selon laquelle un ordinateur portable équipé de Wi-Fi a une puissance de radiation trois fois supérieure à celle d’une machine connectée à une classique prise téléphonique.
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Chinese researchers in Beijing are seeing some of the highest rates of cancer ever reported in any cell phone study. They have found that long-term, heavy users have rates of malignant parotid gland tumors that are seven to 13 times higher than might otherwise be expected.
The raw data —that is, before being adjusted for other possible risk factors like sex, age, income, smoking status and the like— point to cancer risks that are elevated 10-fold, 20-fold, and even 30-fold, depending on the type of tumor and how heavy cell phone use is defined (see table below). For instance, those who had used mobile phones for over ten years had more than ten times the rate of epithelial parotid gland malignancies, the dominant type of cancer of parotid gland. The risk rose to 20 times that of controls for mucoepidermoid carcinoma, the primary subtype of parotid gland cancer. Those who used a cell phone for more than two-and-a-half hours a day had a more than 15-to-30 fold elevated cancer risk. Previous studies have rarely pointed to a risk that is more than double or triple the expected rate.
These elevated risks, though based on a small number of cases —at most 15 in the highest exposure category— are statistically significant. Importantly, Y. Duan, Haizhong Zhang and R.F. Bu at the Chinese PLA General Hospital in Beijing see « general indications » of a dose-response relationship. The new paper was posted on the Web site of the Journal of Oral and Maxillofacial Surgery on April 6. Zhang is the corresponding author of the paper.
Source: International Journal of Oral & Maxillofacial Surgery, posted online on April 6, 2011
« There are so many young cases of parotid gland tumors in the [last] five years, yet [so few] in the last century, » Zhang told Microwave News, « I want to find the reasons. » Zhang is the director of the Department of Oral & Maxillofacial Surgery at the PLA General Hospital.
Parotid gland tumors are rare, with an incidence of 2.5-3 cases per 100,000 per year in Western countries, according to the National Cancer Institute (the rate in China is not known). Benign parotid gland tumors are much more common than malignant tumors. So far, no other group has been able to look at the risk for malignant parotid gland tumors in such detail. The Chinese researchers have 136 cases, enough to do a separate analysis for the 64 cases of the mucoepidermoid carcinoma subtype (these make up about 35% of all malignant tumors of the parotid gland). Fifteen of the cases had used a cell phone for more than 10 years; 13 of the 15 had mucoepidermoid carcinoma.
There were 747 million users of cell phones in China at the end of 2009, according to Zhang and colleagues.
In comparison, the Israeli Interphone team, which was the first to report a long-term risk of parotid gland tumors three years ago, had a total of 58 cases with malignant tumors and only one of these had used a mobile phone for at least ten years. The elevated risk seen by Siegal Sadetzki and her Israeli coworkers was based on an excess of benign tumors. Stefan Lönn and the Swedish Interphone team had 60 cases with this malignancy, and here again only one case with a ten-year use history. Two earlier studies were unable to look at the risk among long-term users.
Late last year, a group at Hebrew University reported sharp increase in the incidence of parotid gland tumors in Israel over the last 30 years. This observation lent support to Sadetzki’s findings (see « Game Changer? »).
The new Chinese paper comes on the eve of the International Agency for Research on Cancer’s (IARC) review of the cancer risks associated with wireless radiation, which begins in Lyon, France, on May 24. The IARC review panel will most likely consider it as it was released before the April 24 cut off for new data.
A number of aspects of the Chinese paper do not fit current understanding of cell phone tumor risks. For instance, Zhang and colleagues did not see a significant association between the location of the tumor and the preferred side for using a cell phone (known as laterality). They acknowledge that this prevents them from reaching a « definitive conclusion about the effect of cellular phone usage. »
A second anomaly is that rural residents had a lower risk than those in the city, the opposite of what Sadetzki reported. (Cell phones tend to operate at higher power levels in the countryside where towers are spaced further apart. This leads to higher radiation exposures and possibly higher tumor risks.) Zhang explains that this may be because rural residents in China tend to have lower incomes than urban residents and cannot afford cell phones. In addition, the Chinese team was unable to look at the possible different effects of digital and analog phones, because, they explain, « most regular users did not know their cellular phone type. »
Zhang and colleagues conclude that they cannot exclude the possibility of distortions due to recall or selection bias. They suggest that « additional large-scale studies, especially those with a prospective design, be performed to reduce the sources of bias and to confirm the significance of the present results. »
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Dans le cadre du Printemps du développement durable, la municipalité a invité Catherine Gouhier, spécialiste des champs électromagnétiques et cofondatrice du CRIIREM (centre de recherche et d’information indépendantes sur les rayonnements électromagnétiques), à animer une conférence sur les ondes électromagnétiques.
Le CRIIREM est un organisme indépendant de mesure qui fait école en France et à l’étranger. Devant un auditoire étoffé et attentif, Catherine Gouhier a apporté des informations aux Pordicais ainsi qu’à la municipalité. « Si le téléphone mobile est un outil indispensable à notre quotidien, des actions doivent être réalisées pour diminuer le risque de nuisance lié aux champs électromagnétiques et à la mauvaise utilisation du portable », rappelle la scientifique qui a évoqué deux nombreux éléments comme faire des mesures lors des pics d’utilisation du mobile et non dans l’après-midi comme celles réalisées par les organismes mandatés par les opérateurs, ou ne jamais utiliser son portable en roulant en voiture, mais se garer pour communiquer car le véhicule est un amplificateur d’ondes lorsqu’il roule, même en kit main libre.
« L’exposé très fourni a permis d’envisager des pistes de travail à mettre en place aux côtés des opérateurs pour se diriger vers l’élaboration d’une charte communale pilote », souligne l’adjoint au développement durable, Thierry Stiefvater.
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