Ondes et virilité masculine

Téléphones portables et réduction de la fertilité masculine

Certains hommes ont des problèmes pour concevoir et une étude de leur sperme montre que la qualité du produit laisse à désirer. Dans ce cas, il est conseillé de limiter l’utilisation du téléphone portable. Des chercheurs ont montré en effet que l’utilisation de téléphone portable semble à la fois accroître le niveau de testostérone dans le corps, mais aussi conduirait à un sperme de mauvaise qualité et donc moins fertile.

Cette découverte est intrigante pour le moins. Les chercheurs s’attendaient à d’autres résultats. Les chercheurs font l’hypothèse que les ondes électromagnétiques des téléphones portables pourraient avoir une action duale sur les niveaux d’hormones masculines et sur la fertilité. Les ondes accroîtraient le nombre de cellules responsables de la production de testostérone dans les testicules, mais aussi baisserait une autre hormone produite dans l’hypophyse et bloquerait la conversion de la testostérone en une autre forme qui est censée stimuler la production de spermatozoïdes.

En attendant, éviter de laisser votre portable dans votre poche de pantalon si vous voulez devenir papa…

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Petit rappel d’utilisation du portable !

Rappel d’utilisation du portable !

Savoir téléphoner, tout le monde sait faire mais savoir téléphoner intelligemment en évitant les situations à risques, c’est autres choses…

S’équiper d’un portable avec un débit d’absorption spécifique (DAS) ultra bas, si possible inférieur à 0,7 watt par kilo, en France, les téléphones vendus  ne peuvent dépasser 2 W/kg et certains modèles descendent à 0,3 W/kg. Information que vous trouverez  sur la fiche technique du mobile.

Rappel : Le DAS correspond à la puissance du rayonnement absorbé localement par le corps humain.

Votre utilisation au quotidien doit changer, il faut prendre de nouvelles habitudes. Le but n’étant pas de refuser les nouvelles technologies et de ses points positifs mais bien de savoir comment l’utiliser de façon optimale et sans risques.  Prendre ses distances avec notre téléphone, n’est pas une chose simple mais il faut s’y forcer.

Éloigner de 10cm son téléphone portable suffise pour que l’on ne reçoit plus qu’un quart des ondes émise par ce dernier.  En déplacement, éviter de le placer dans nos poches. Pour ceux qui se servent de leur portable comme réveil, penser à le positionner au moins à 1 mètre. Le kit main libre est nécessaire, ou au moins un kit oreillette. Et surtout on interdit l’accès des téléphones portables et DECT aux enfants.

Savoir l’utiliser c’est aussi savoir quand les ondes sont les plus fortes et par conséquence dangereuse. Ainsi, on patiente que notre interlocuteur ait décroché pour coller l’appareil à l’oreille. En effet c’est lorsque le mobile essaie de se connecter au réseau ou lors des changements de relais que les ondes sont les plus fortes. Car, plus on s’éloigne des antennes relais, plus les ondes du téléphone sont puissantes pour les atteindre. Penser à utiliser votre téléphone de préférence quand le signal de réception sur votre portable est optimal. Dernier conseil très importants, lors de vos déplacements en voiture, en train, en métro, positionnez vos téléphones en mode avion ou arrêtez les car les ondes électromagnétiques sont deux fois plus élevées à l’intérieur d’un habitacle en métal. On parle d’effet de cage de Faraday.

Vous avez vu c’est pas bien compliqué, savoir téléphoner intelligemment, c’est éviter les situations à risques…

Le  webmaster

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Faut-il interdire les GSM et le wi-fi à l’école?

Interdire les téléphones portable et le wi-fi à l’école

Le Conseil de l’Europe propose, sur la base d’un rapport évaluant les risques sanitaires liés aux champs électromagnétiques, d’interdire les téléphones mobiles et les systèmes wi-fi dans les classes et les écoles. Le danger viendrait des champs électromagnétiques liés aux appareils électriques comme les téléphones portables, les réseaux informatiques sans fils et les lignes électriques.

Pour le Conseil de l’Europe, il existe aujourd’hui suffisamment d’études qui apportent « des preuves suffisantes d’effets potentiellement nocifs des champs électromagnétiques sur la faune, la flore et la santé humaine pour réagir et se prémunir contre des risques potentiellement graves pour l’environnement et la santé. »

Sur la base de ces rapports/études, il recommande donc d’interdire tous les téléphones mobiles et les systèmes wi-fi dans les écoles.

Mais le Conseil n’oublie pas la prévention. Il propose de lancer des campagnes de sensibilisation aux dangers des ondes électromagnétiques et leurs risques nocifs, à long terme, pour la santé. Les adolescents et les jeunes adultes en âge d’avoir des enfants seraient particulièrement visés.1

Des risques potentiellement nocifs

La recherche sur de nouveaux types d’antennes, téléphones mobiles et autres dispositifs de communication sans fil, basés sur d’autres technologies, serait également encouragée.

Dans les écoles, cette prise de position du Conseil de l’Europe serait plutôt bien accueillie. Jonathan Fischbach, président d’Enseignons.be : « On équipe les écoles en matériel informatique, on installe des systèmes wi-fi… Tout cela a du sens, pédagogiquement. Mais personne ne semble s’être demandé s’il n’était pas dangereux de bombarder nos enfants d’ondes électromagnétiques, huit heures par jour, cinq jours par semaine… Dans certaines écoles, on rapporte que les enfants sont plus vite fatigués, ont des maux de tête… Même les médecins sont inquiets, surtout que cette exposition aux ondes se poursuit souvent à domicile. Il est temps qu’une étude soit menée dans les écoles de la Communauté française. Quant au GSM, c’est à la fois une question d’ordre sanitaire et d’ordre pédagogique. Cet outil de communication n’a rien à faire dans les classes. »

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Revoir le documentaire Mauvaises ondes de France 3


A la demande de nombreux membres déjà inscrits, voici le lien pour voir ou revoir ce très bon documentaire sur les risques des ondes. Pour une fois que le documentaire est Français et diffusé sur une chaine Française, de surcroit une chaine publique. N’hésitez pas à le diffuser autour de vous. Merci aux lecteurs de plus en plus nombreux. Le webmaster

Emission Mauvaises ondes, cliquez ici

France 3 a diffusé le 18 mai, à 20 h 35, un documentaire de 80 minutes de Sophie Le Gall, intitulé Mauvaises ondes, consacré aux ondes électromagnétiques qui sont partout dans notre vie quotidienne aujourd’hui : micro-ondes, Wi-Fi, téléphonie cellulaire. « 64 millions de téléphones portables sont en activité, utilisés par des adultes, mais aussi des adolescents ou même des enfants », indique le texte de présentation sur le site de la chaîne.

« L’Etat, devant l’inquiétude grandissante des citoyens, édicte des normes. Mais protègent-elles réellement notre santé ? Les scientifiques s’affrontent à coup d’études contradictoires. Mais lorsque les résultats auxquels ils parviennent sont inquiétants, il semblerait que les chercheurs soient discrédités et que le financement de leur recherche soit plus difficile à obtenir. Reste une question cruciale : les ondes sont-elles dangereuses pour la santé ? » Un débat suivra le film, animé par Samuel Etienne.

« Il y a un vrai manque d’informations sur ces ondes »

L’association Robin des Toits, qui lutte contre la prolifération des ondes électromagnétiques, a interrogé la réalisatrice et publié l’entretien sur son site. Elle dit avoir pu facilement rencontrer les chercheurs, et avoir travaillé sans subir de pression, ni de la part des opérateurs – peu enclins à répondre à des questions précises – ni de celle des pouvoirs publics.
Elle indique que « ce qui a nous a poussé à faire ce sujet c’est l’étude européenne Interphone sur les dangers des ondes des portables. Les résultats de cette étude ont mis des années à sortir et les chercheurs entre eux n’arrivaient pas aux mêmes conclusions. Finalement, le lecteur en lisant cette étude n’était pas plus informé.  Mais la vraie question pour nous c’était “Est-ce que réellement l’étude n’a rien pu prouver ou les chercheurs ont-ils trouvé des résultats mais qui ont été passés sous silence ?” C’est à partir de cette question-là qu’on a décidé de réaliser ce documentaire ».
Et d’espérer qu’il « aidera le public à être mieux informé. Aujourd’hui il y a un vrai manque d’informations sur ces ondes. Même s’il existe des normes françaises obligeant les industriels à afficher certaines informations, ils n’ont pas de réelle volonté de communiquer là-dessus ».

Mauvaises ondes, de Sophie Le Gall, sur France 3, à 20 h 35 le 18 mai.



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Ondes électromagnétiques. Le réseau Wimax fait débat

Ces ondes qui font peur… Une association bannalécoise, Les Mains dans la Terre, organisait, mardi soir, une réunion publique pour dénoncer la mise en place, par le conseil général, d’un réseau Wimax dans le Finistère.

Le Wimax est une technologie sans fil, de type wifi, à haute puissance, qui diffuse dans un rayon de 50km et permet de recevoir l’internet haut débit (jusqu’à 2 mégabits) quand le réseau filaire ne le permet pas. La création de ce réseau dans le Finistère doit permettre de desservir, selon le conseil général, les zones blanches de ce département. Et des antennes ont été installées, pour ce faire, notamment à Bannalec (deux), Riec, Guilligomarc’h, Clohars, Scaër, Kernével et Rédéné. Mais depuis cette annonce, des opposants se mobilisent au sein d’un collectif baptisé Vigilance 29, qui regroupe une quinzaine d’organisations locales dont Les Mains dans la Terre.

Des arguments financiers

Cette levée de boucliers s’appuie tout d’abord sur des arguments financiers. Comme l’ont affirmé les animateurs de l’association, mardi soir, dans la salle Jean-Moulin de Bannalec, «le conseil général gaspille l’argent public». «Un contrat de 23,32M€TTC… pour l’installation des antennes», disent-ils, «a été signé avec la société Axione-ETDE (filiale de Bouygues). Or, seuls quelque 3.200 foyers sont en zone blanche dans le département… et non 10 ou 12% des Finistériens, chiffre incohérent et sans fondement annoncé par le conseil général». Ce chiffre de 3.200 est d’ailleurs un maximum, précisent-ils, puisque bien des personnes âgées n’ont pas internet. Et puis, poursuivent-ils, «c’est un système obsolète, puisque limité à deux gigabits et en pratique très peu fiable, car il ne fonctionne pas par temps de brouillard ou s’il y a forte pluie». Sans parler du fait qu’il ne faut aucun obstacle entre les pylônes et les antennes des abonnés. Le collectif Vigilance 29 fait d’autres propositions, «moins onéreuses et plus fiables»: la fibre optique, le satellite bi-directionnel ou encore le NRA-ZO, «une technique très efficace qui consiste à booster les connexions téléphoniques classiques en délocalisant le central dans un local installé à proximité des abonnés lésés».

Une spécialiste des rayonnements

Les opposants s’appuient également sur des arguments sanitaires et mardi soir, ils avaient invité une spécialiste des rayonnements électromagnétiques, Catherine Gouhier, animatrice du Criirem, un organisme indépendant qui est un peu l’équivalent du Criirad (celui qui s’occupe de la radioactivité). Et ses arguments font froid dans le dos, même s’ils méritaient, ce qui n’a pas été vraiment le cas mardi soir, d’être confrontés à quelques voix contradictoires. Catherine Gouhier fait référence notamment au rapport international Bio Initiative, publié en août2007 par des sommités scientifiques. Ce texte remet en question les normes officielles qui sont censées protéger la population. Et il énumère les risques que nous font courir les ondes électromagnétiques: «perte d’étanchéité de la barrière sang-cerveau, perturbation de production de la mélatonine, perturbation des régulations membranaires des cellules, dommages génétiques…, altération du système immunitaire…, tumeurs du cerveau…». Et cette phrase terrible d’un éminent cancérologue suédois, même si elle ne parle pas du Wimax proprement dit: «Un adolescent qui a un portable contre la tête une demi-heure ou plus par jour aura un Alzheimer à 30 ans». L’opposition au Wimax est donc argumentée; elle est peut-être excessive sur certains points, mais elle mérite au moins un débat approfondi et une confrontation des chiffres. Car l’enjeu n’est pas mince.

Jean-Jacques Baudet

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Dire la vérité sur un business qui irradie dérange beaucoup les industriels.

MERCREDI A 20H35 – FRANCE3 DOCUMENTAIRE : « Mauvaises Ondes », DE SOPHIE LE GALL

Téléphoner tue. Pourquoi, à l’instar du tabac, cet avertissement n’est-il pas écrit sur
les 64 millions de mobiles des Français. C’est le problème soulevé dans l’édifiant documentaire réalisé par Sophie Le Gall. Après « Du poison dans l’eau du robinet», couronné d’un prix d’investigation, cette journaliste tenace s’attaque aux responsabilités de l’Etat et des opérateurs qui vont très loin pour tenter d’occulter la dangerosité de nos chers téléphones.  En huit mois d’enquête, la réalisatrice a rencontré beaucoup de monde, en France et à  l’étranger. Sauf les opérateurs aux abonnés absents. Le constat est sans appel: la norme de rayonnement fixée en France pour les mobiles est faite pour protéger l’industrie pas les humains.

C’est qu’il s’agit de ne pas tuer la poule aux œufs d’or. A sa naissance en 1994, les experts estimaient le marché de l’industrie de la téléphonie mobile à 15 milliards d’euros à l’horizon 2010. Il a atteint les 20 milliards;  il était donc urgent de développer au plus vite cette technologie sans inquiéter les consommateurs. Et, par là même, d’organiser le ralentissement de la connaissance scientifique. Les chercheurs qui ont démontré que les ondes des portables tuaient les poulets ou donnaient des œdèmes cérébraux aux rats ont, pour certains, reçu des menaces de mort ou au mieux n’ont pu publier leurs résultats à moins que leurs budgets aient été coupés, considérant que leurs résultats de leurs études n’étaient pas ceux attendus. Car la collusion entre des chercheurs et les opérateurs est
grande. Certains travaillent pour les opérateurs qui ,en échange,  financent leur laboratoire. Et ce conflit d’intérêts, savamment organisé, ne semble déranger personne. Pas même l’Etat. Il est d’ailleurs assez surprenant de découvrir que le décret fixant les normes d’émission d’ondes, beaucoup plus tolérantes chez nous que dans d’autres pays, a été signé rapidement entre les deux tours de la présidentielle de 2002. Un seul nom manque celui d’Yves Cochet. Mais il n’était que ministre de l’Environnement…

Quant à la ministre de l’Écologie et du Développement durable, Nathalie Kosciusko- Morizet, elle semble avoir totalement oublié qu’en 2005 alors présidente du groupe d’études Santé et Environnement de l’Assemblée Nationale, elle voulait faire baisser les normes de ces mauvaises ondes.

Florence Raillard

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Le Dossier noir du portable

Le Dossier noir du portable

de Richard Forget
Pharos/Jacques-Marie Laffont

L’avocat de Robin des toits, l’une des principales associations anti-téléphone mobile, raconte sa première rencontre avec le dossier du mobile, explique les risques sanitaires encore niés récemment par les autorités, et égrène les faits alarmants.
Un témoignage raconté d’une plume alerte, à l’antithèse des recommandations officielles. Inquiétant.

Le dossier noir du portable

Plusieurs études ont été menées pour tenter d’apporter des réponses.
Vous avez sans doute entendu dire qu’il était déconseillé de rester à coté d’un four à micro-onde en marche. En effet, pour cuire les aliments, les fours émettent des ondes sur une fréquence de 2450 Mégahertz. Ce qui a comme effet d’exciter les molécules d’eau. Les frictions de ces molécules entre elles dégagent alors la chaleur qui permet la cuisson des aliments. Dans un four ne comportant aucune anomalie, les ondes sont comme dans une cage de Faraday. Or la longueur d’ondes de nos téléphones cellulaires est proche de celle des fours à micro-ondes. Nous pouvons donc légitimement nous interroger sur les effets qu’ils peuvent provoquer sur notre organisme: Le corps humain contient 60% d’eau !
L’effet thermique, constaté chez une personne qui utilise son mobile pendant 20 minutes, est une augmentation de 1°C de la température des tissus de la tête en contact avec le portable. Cette hausse se ressent jusqu’à 10 cm vers l’intérieur de la tête, les conséquences sont une différence de température de part et d’autre du cerveau. mais les effets qu’implique ce déséquilibre thermique ne sont pas encore connus…

On entend également dire que le téléphone portable pourrait être à l’origine de migraines, quand est-il ? Certaines personnes se plaignent de maux de tête après l’usage prolongé du mobile. Une étude sur le rat évoque l’hypothèse selon laquelle les rayonnements émis par un téléphone pourraient modifier la perméabilité des vaisseaux du cerveau. Ce qui, chez l’homme atteint de migraine chronique, entraînerait une augmentation en fréquence ou en intensité de cette douleur.

Autre effet, l’exposition aux radio-fréquences émises par les portables. Elles pourraient être dangereuse pour les utilisateurs de lunettes à montures métalliques ou portant des boucles d’oreille. Là encore rien n’est prouvé scientifiquement. Certaines études cherchent à prouver qu’il n’y a aucun risque de cancer lié au portable. A l’inverse, une étude anglaise beaucoup plus récente montre que les personnes qui utilisent régulièrement leur téléphone depuis dix ans auraient 40% de risques supplémentaires de développer des tumeurs du système nerveux.

Si le portable est un émetteur il est aussi un récepteur d’ondes. Il les reçoit par l’intermédiaire d’antennes relais placées sur le toit des immeubles ou des châteaux d’eau. Celle-ci peuvent être à l’origine de dysfonctionnements d’appareils électroniques. Des cas d’appareillages médicaux perturbés ont été recueillis.

On constate donc que cette question n’appelle pas de réponse tranchée. Si vous avez des craintes, utilisez votre téléphone cellulaire avec un kit main libre. Vous pouvez toujours respecter ces quelques conseils sans toutefois tomber dans la phobie du téléphone portable.

 

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5 questions sur les ondes électromagnétiques au Dr Patrice Halimi

Les ondes électromagnétiques selon le Dr Patrice Halimi

docteurpatricehalimi_interview_ondes

Téléphone mobile greffé à l’oreille, réseau wifi dansles hôtels, les restaurants et bientôt dans les jardins publics comme à Bordeaux…nous sommes cernés par les nouvelles technologies. Gain de temps, praticité, elles facilitent notre vie quotidienne, mais sont-elles vraiment sans danger ? De nombreux rapports scientifiques prouvent le contraire…. Alors comment protéger notre santé sans retourner à l’âge de pierre ? Pour tenter d’y voir plus clair, nous avons posé 5 questions au Dr Patrice Halimi, Chirurgien-pédiatre à Aix-en-Provence et Secrétaire Général de l’Association Santé Environnement France.

Aujourd’hui, de nombreuses études montrent que les ondes électromagnétiques ont un impact sur la santé. Pourtant, supprimer les technologies sans fils semble impossible. Alors que faut-il faire ?


Dr Patrice Halimi : Il est bien évident, que nous souhaitons tous conserver ce moyen de communication ! Il ne s’agit donc pas de revenir en arrière, mais bien de réfléchir ensemble à comment nous protéger au niveau collectif en réglementant les antennes relais et au niveau individuel en utilisant avec « précaution » son téléphone portable.
Justement sur les antennes relais, sont-elles dangereuses pour la santé ?

Dr P.H : Bien que nous ne soyons pas en mesure de trancher, il apparait de façon évidente que l’absence de certitude scientifique nécessite l’adoption sans concession de mesures de précaution. Le temps nécessaire aux recherches scientifiques ne doit pas nuire à la santé des populations ! Le rapport de l’Afsset appelle à la réduction de l’exposition du public aux ondes électromagnétiques. Il préconise notamment la mise en place du principe ALARA qui consiste à ce que la puissance des antennes soient réduites à la plus basse fréquence possible. La semaine dernière le Conseil de l’Europe a même reconnu que les émissions de la téléphonie mobile étaient une attaque à la santé publique. Nous avons donc besoin de normes collectives telles qu’il en existe sur l’air ou sur l’eau. En France, la norme d’émission des antennes relais oscille entre 41 et 61 volts/mètre alors que l’ensemble de nos voisins européens a adopté des normes comprises entre 3 et 6 volts/mètre. L’Autriche étant même passée à une réglementation de 0.6 volt/mètre. La France a donc des efforts à faire !

Que peut-on faire si on en a sur notre toit ?

Dr P.H : Il existe un arrêt daté du 7 avril 2005 qui décrète qu’une antenne relais ne peut être implantée que si les propriétaires de l’immeuble l’acceptent à l’unanimité. En clair, les locataires d’appartements privés ou d’HLM n’ont pas leur mot à dire, seul les propriétaires ont la possibilité de refuser l’implantation d’antennes sur leur toit. Cette façon de faire est à mes yeux anti-démocratique ! Il s’agit là de reléguer les locataires au rang de citoyen de seconde zone. C’est inacceptable ! Lorsqu’on est locataire, on a aussi le droit de s’inquiéter pour sa santé. Il est donc capital de mettre en place un véritable débat public fondé sur la transparence notamment en rendant publique une cartographie du bain d’ondes que subissent les gens en fonction de l’endroit où ils se trouvent. Aujourd’hui, on demande simplement aux autorités compétentes de faire mesurer les niveaux d’ondes auxquels sont soumis les habitants pour que l’on puisse en évaluer la nocivité et décider en connaissance de cause.
Vous parliez de téléphoner « avec précaution » pour se protéger au niveau individuel, comment faire ?

Dr P.H : Nous sommes obligés d’agir individuellement ! On nous dit que tout ira mieux demain ou après-demain quand on aura inventé le téléphone de « demain », ou dans 10 ans quand on aura validé la seconde étude épidémiologique. Or, le problème, c’est que moi je vis ici et maintenant et que j’aimerais qu’on me dise comment me protéger ici et maintenant des pollutions d’aujourd’hui… Il est donc important que chacun d’entre nous utilise son téléphone portable avec prudence pour limiter l’impact des ondes. Quand je dis téléphoner « avec précaution », je parle d’utiliser un kit main libre, de privilégier les textos ou encore d’interdire à ses enfants d’en utiliser un. Il faudrait également mettre en place un principe de protection des personnes les plus vulnérables (enfants, adolescents, femmes enceintes, etc.).
Les enfants sont donc plus sensibles, que doit-on faire pour les protéger ?

Dr P.H : En consultation, nous avons souvent des parents qui s’inquiètent, qui nous posent des questions sur les dangers du mobile pour leur enfant, sur l’âge auquel ils doivent accepter que leur adolescent ait un mobile… Aujourd’hui, les adolescents ont quasiment tous un téléphone mobile – et dans la pratique il n’est pas envisageable de revenir là dessus. Mais contrairement aux adultes, leur cerveau est encore en développement et le risque de pénétration des ondes est plus important. Il existe une quinzaine d’études biologiques sérieuses qui montrent que les ondes électromagnétiques ont un impact sur la santé humaine notamment sur le développement neurologique des enfants. Pour aider les parents, nous avons réalisé un poster avec des conseils simples sur l’utilisation de téléphone mobile pour les ados : utiliser un kit main libre, ne pas dormir avec le mobile, envoyer des textos plutôt que de passer des appels… Il est également important que les opérateurs de téléphonie mobile prennent leur part de responsabilité et proposent aux consommateurs des oreillettes plus faciles d’utilisation, des portables moins nocifs (DAS le plus faible possible) et également des forfaits « sans voix » pour les adolescents entre 12 et 18 ans permettant uniquement d’envoyer des textos, pour qu’ils ne collent pas leur portable à leur boîte crânienne…
Le Dr Patrice Halimi sera en direct sur France 3, ce mercredi 18 mai à 20h35 dans l’émission « Hors-Série » présentée par Samuel Etienne.


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wi-fi cancérigène, ou quand le danger est au bout du sans fil

Wi-fi cancérigène

Une nouvelle étude vient d’établir le lien entre utilisation d’une connexion Wi-Fi et tumeur au cerveau chez les enfants, rapporte le Herlad Sun. Les experts qui ont étudié la véracité de ce lien de causalité – déjà envisagé mais jamais établi jusqu’ici – recommandent de proscrire purement et simplement les téléphones et ordinateurs portables des bancs d’écoles.

Du smartphone au cancer, en passant par le « babyphone« 

Les résultats de cette étude de grande envergure accablent les radiations électromagnétiques générées par les dispostifs reliés au réseau internet sans fil (alias le wireless ou Wi-Fi). Mais les ordinateurs et autres smartphones ne sont pas les seuls mis en cause: les « babyphones » et téléphones sans fil sont également incriminés. Tous ces appareils mettraient en péril le bon développement du cerveau des enfants. Le rayonnement électromagnétique dégagé par ces outils plébiscités dans toutes les familles à l’heure actuelle seraient source de cancers, notamment de tumeurs au cerveau. L’utilisation d’un GSM standard (communications téléphoniques simples) ne serait par contre pas concernée.

En attendant l’OMS…

Ces nouvelles conclusions scientifiques battent en brèche le discours de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) qui prétendait il y a peu que de telles ondes n’affectaient pas – ou dans une infime mesure – la santé de l’homme. Et pourtant, après des dizaines d’années de recherches infructueuses (mais pas nécessairement rassurantes) sur la question, les scientifiques pourraient désormais pencher pour les résultats dégagés par ces experts et pointer du doigt l’utilisation du sans fil comme origine de nombreux cancers, particulièrement chez les jeunes sujets.

… et si on se déconnectait?

En conclusion, le plus prudent, en attendant confirmation ou infirmation de cette découverte, serait d’éduquer nos enfants aux risques potentiels du Wi-Fi. De leur apprendre à privilégier le câble au sans fil, dès que c’est possible. Mais surtout, dans le monde actuel, agrippés à nos i-objets reliés en permanence au net et allumés de jour comme de nuit sur l’oreiller, peut-être ferions-nous preuve de bon sens en réapprenant les vertus de la touche « off ».


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Les maladie d’origine environnementale,c’est quoi exactement ?

Une demande de reconnaissance par l’OMS

Souffrir d’une maladie environnementale, c’est être anormalement sensible aux ondes électromagnétiques et/ou aux substances chimiques que les autres tolèrent. Non seulement c’est invalidant, mais en plus, ce n’est même pas reconnu, à l’exception de rares pays comme la Suède ! D’où l’idée de cette Journée mondiale du 12 mai…

Les associations de malades de pathologies environnementales, qui regroupent notamment les patients victimes du Syndrome de l’Hypersensibilité Chimique Multiple (HCM) et du syndrome de l’électrosensibilité (EHS), entendent bien bénéficier d’une reconnaissance officielle et pour cela, seront reçues par la Directrice de Santé Publique et d’Environnement de l’OMS, dès demain 13 mai. Cette demande de reconnaissance s’appuie sur une pétition signée par 26 pays, plus de 200 experts de santé environnementale, plus de 240 ONG, fondations et partenariats du domaine de la santé environnementale et de l’environnement.

Des symptômes très variables

Si les maladies d’origine environnementales ont autant de mal à se faire reconnaître, c’est déjà parce qu’il est très difficile d’imputer leurs symptômes à un facteur environnemental particulier (même si les malades disent aller mieux lorsqu’ils n’y sont plus soumis) et parce que les symptômes décrits sont très variables. Ils vont des troubles neurologiques aux difficultés respiratoires et digestives en passant par des troubles immunologiques, dermatologiques, endocriniens, cardiovasculaires ou ORL. En outre, les médecins ne sont pas formés pour repérer ces pathologies environnementales puisqu’elles ne sont pas officiellement reconnues : un vrai cercle vicieux.

Notre conseil

Une reconnaissance de ces maladies environnementales permettrait indéniablement de faire avancer la recherche. En attendant d’en savoir plus, le diagnostic de maladie environnementale reste un diagnostic d’exclusion, lorsqu’aucune autre cause n’a pu être retrouvée. Échapper aux facteurs environnementaux supposés en cause est déjà nettement plus compliqué (ondes et produits chimiques sont partout), mais si l’OMS reconnaît enfin ces pathologies, les gouvernements seront bien obligés d’en tenir compte et de prendre de vraies mesures de protection des personnes.

(Source : Regroupement international des associations de malades de pathologies environnementales : www.asquifyde.es. )

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